Luluz expose ses œuvres à la galerie Ô Marches du Palais, située au 2 Boulevard Jean Jaurès à Lodève. Ouverte tous les jours de 10h à 13h et de 16h à 20h, cette galerie accueille les amateurs d’art qui souhaitent explorer les créations de cette artiste autodidacte. Pour toute information complémentaire, n’hésitez pas à appeler au 04 67 88 03 31.
Biographie de Luluz:
Luzio Irène artiste peintre française, alias « Luluz » Elle a un parcours singulier révèle une quête incessante de liberté et d’authenticité. Sa biographie est marquée par une série d’événements clés qui ont façonné son identité créative, débutant dès l’enfance avec une reconnaissance précoce de sa sensibilité pour la peinture.
A l’âge de 16 ans elle est distinguée par un prix d’un concours scolaire grâce à un tableau inspirée par un voyage en Andalousie intitulé « Naranjas ».
Deux ans plus tard elle intègre l’Académie Charpentier à Paris mais Irène se trouve rapidement en désaccord avec le formalisme académique «un endroit où les rêves viennent mourir dans l’ennui et la répétition». C’est dans les cours de modèles vivants qu’elle trouve son salut, son trait est là, il l’attend dans ces corps nus. L’année 1996 marque le début de son parcours d’;autodidacte.
Elle vend alors ses croquis sur les côtes bretonnes prouvant sa résilience et sa détermination à poursuivre sa passion.
Elle vendra aussi certaines de ses reproductions au Centre culturel Georges Pompidou à Paris où elle travaille.
C’est en 2016 qu’elle renoue avec la lumière du sud celle qui l’avait traversée dans sa jeunesse. Irène se met à travailler d’une manière intensive. Elle a quarante ans, on lui prête un atelier à Millau et cherchant à retrouver son trait originel elle crée une série de 11femmes en grand format sur des chutes de tapisserie dans une improvisation totale. Elle exposera ses 11 lames à plusieurs reprise pour la journée et le mois de la femme qu’elle nommera « chute de rien », une ode à la force des femmes.
En 2020 après avoir travaillé sur une série autour de la danse Flamenco, on lui propose de participer au festival « la Movida » à Valence pour y exposer ses toiles. Mais l’événement est annulé à cause de la pandémie , elle va alors consacrer tout son
temps sur l’expression des corps et des visages et s’intéresse à la danse buto. Le trait de son pinceau et son graphisme s’aiguisent toujours dans un style très spontané brut et incisif qu’elle cultive.