George Soros et l’Open Society : L’Ambition Mondialiste de Détruire les Sociétés Traditionnelles

George Soros, ce nom qui résonne dans les couloirs du pouvoir mondialiste, est bien plus qu’un simple milliardaire philanthrope. À travers son Open Society Foundation, Soros a un projet bien défini : remodeler le monde selon une vision qui prétend prôner la liberté, mais qui, en réalité, sape les fondements mêmes de nos sociétés traditionnelles. Ce projet, loin d’être anodin, puise ses racines dans les théories de Karl Popper, mais en les pervertissant pour servir un agenda mondialiste, destructeur de nos valeurs ancestrales.

L’Open Society : Une Idée Noble Détournée pour un Projet Dangereux

Commençons par le commencement. L’idée de la « société ouverte », telle qu’évoquée par Karl Popper dans son ouvrage « La société ouverte et ses ennemis », était censée permettre l’émancipation des sociétés en les libérant des dogmes et des systèmes autoritaires. Popper, influencé par les horreurs du nazisme, aspirait à une société où les individus seraient libres de choisir, de critiquer, et de réfuter les systèmes de croyance figés.

Mais voilà, comme souvent, une idée noble a été dévoyée. George Soros, en bon élève de Popper, a repris ce concept, mais pour le transformer en une arme redoutable contre les sociétés traditionnelles. Pour Soros, l’ouverture de la société ne consiste plus à favoriser la liberté de choix, mais à imposer un modèle vertical où les traditions sont vues comme des obstacles à abattre. L’Open Society n’est plus un idéal de liberté, mais un instrument de domination où la tradition, la culture, et même l’identité nationale sont sacrifiées sur l’autel du progressisme forcé.

Platon, l’Ennemi de l’Open Society

Pour bien comprendre l’ampleur du projet de Soros, il est indispensable de revenir à Platon, ce philosophe de l’Antiquité qui, selon Popper, a posé les bases des sociétés fermées avec son élitisme et sa vision hiérarchique du monde. Dans son ouvrage « La République », Platon imagine une société dirigée par une élite éclairée, où chacun a sa place et son rôle. Pour Popper, cette vision platonicienne est à l’origine des régimes totalitaires, car elle prive les individus de leur liberté en les enfermant dans des rôles prédéterminés.

Soros, s’inspirant de Popper, voit dans cette structure hiérarchique un modèle à renverser. Mais au lieu de libérer les sociétés de ce joug, il impose un nouvel ordre mondial où tout ce qui est traditionnel devient suspect, voire nuisible. Sous prétexte de lutter contre l’élitisme, Soros promeut une société où l’élite mondialiste impose ses vues à l’ensemble de la population, annihilant ainsi toute forme de résistance issue des traditions locales.

L’Ironie d’une Société Ouverte : La Charia pour Tous ?

Prenons un exemple concret de cette « société ouverte » que Soros et ses disciples souhaitent instaurer. Selon leur vision, un islamiste en France devrait pouvoir vivre selon les principes de la charia s’il le souhaite. Après tout, pourquoi s’encombrer des lois laïques, fruit d’une longue histoire culturelle et juridique française, lorsque chacun peut apporter son propre système de valeurs ? Cette idée, aussi aberrante qu’elle puisse paraître, est pourtant au cœur de l’Open Society : faire exploser les cadres établis pour créer un métissage idéologique où tout se vaut, même ce qui s’oppose frontalement aux fondements de nos sociétés.

Ce projet mondialiste vise à affaiblir les identités nationales en brouillant les repères. Pour Soros, les frontières, les lois, les coutumes, tout doit être mis en question, voire éradiqué, pour que le nouvel ordre mondial puisse régner sans partage. C’est là l’essence de la société ouverte : ouvrir les portes à toutes les influences, même celles qui peuvent détruire ce qui fait notre identité.

Le Libertarisme : Une Solution pour Retrouver la Liberté

Face à cette menace, que reste-t-il comme solution pour préserver ce qui fait de nous ce que nous sommes ? La réponse réside peut-être dans le libertarisme. Contrairement à la vision mondialiste de Soros, le libertarisme prône un retour à l’ordre spontané, un ordre où les individus s’organisent librement sans subir les diktats d’une élite autoproclamée. Cet ordre spontané, théorisé par Friedrich Hayek, contemporain de Popper, repose sur l’idée que les sociétés se construisent naturellement, par l’interaction libre des individus et le respect des traditions.

Le libertarisme offre une alternative à la verticalité imposée par Soros. Il propose un modèle où la liberté ne se fait pas au détriment des identités culturelles, mais où celles-ci sont respectées et intégrées dans le tissu social. C’est un retour à l’essentiel, où chaque individu retrouve la liberté de choisir sans que les traditions soient perçues comme des ennemis à abattre.

Dans ce paysage complexe, le travail de personnalités comme Éric Verhaeghe est essentiel pour démêler les fils d’une rhétorique souvent trompeuse. C’est en scrutant au-delà des apparences que nous pouvons espérer comprendre et influencer le monde dans lequel nous vivons.

Conclusion

Le projet de George Soros, sous couvert de liberté, est en réalité un processus de déconstruction méthodique des sociétés traditionnelles. En s’attaquant aux fondements mêmes de nos identités, il cherche à imposer un nouvel ordre mondial, uniforme et contrôlé par une élite. Face à cette menace, le libertarisme apparaît comme une solution viable pour préserver nos libertés tout en respectant nos traditions. Il est temps de redécouvrir la valeur de nos identités et de résister à cette mondialisation forcée qui ne vise qu’à nous priver de notre essence.

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