Nous sommes en 2025, et je rediffuse aujourd’hui ce vlog n°7, enregistré le 25 novembre 2023. À l’époque, j’avais 53 ans, et le monde semblait s’effilocher sous mes yeux, depuis ma forêt imaginaire – un refuge autant qu’un poste d’observation. Ce septième chapitre de Les Verticales de l’Été 2025 arrive dans une série qui, vlog après vlog, tisse une toile de réflexions sur notre époque. Le contexte ? Une société encore groggy de la crise COVID, saturée de narratifs absurdes, et moi, cherchant à percer le brouillard avec une lampe de poche et une bonne dose de scepticisme. Cet épisode, c’est un cri, une colère froide qui refuse de plier face au silence imposé.
Résumé des épisodes précédents
Pour saisir où j’en étais dans ce vlog n°7, il faut remonter le fil. Tout a démarré le 1er octobre 2023, avec le vlog n°1 : une tempête dehors, une autre dans ma tête, et une envie de parler sans filtre après des années de frustration post-COVID. Le n°2 a plongé dans Samain, la fête celte des morts, pour moquer une société qui rejette ses vieux et esquive la mort comme une vieille tante gênante. Dans le n°3, j’ai ironisé sur une guerre mondiale improbable – un milliard contre sept milliards, vraiment ? – avant de creuser, dans le n°4, comment la peur sert d’arme aux puissants. Le n°5 a marqué un virage : j’ai revendiqué un vlog militant, exigeant que les responsables de la crise COVID rendent des comptes. Puis, le n°6 a enfoncé le clou, suggérant que la pandémie pourrait être un acte terroriste mondial. Une hypothèse osée, que je reprends ici avec plus de mordant.
Analyse du vlog n°7
Ce 25 novembre 2023, j’étais dans un état d’esprit particulier. Pas de hurlements, mais une colère qui couve, précise, presque chirurgicale. Le monde tournait au délire, et je l’ai dit sans détour : « Nous vivons une époque de grand n’importe quoi. Mais, évidemment, quand on a dit ça, on a rien dit. » La crise COVID, ses confinements, ses vaccins, ses chiffres truqués, restait une plaie ouverte. Pourtant, on nous pressait d’oublier, de tourner la page, comme si tout ça n’avait été qu’un hoquet historique. Sauf que les faits s’entêtaient : mortalité en hausse, cancers, AVC, maladies en cascade. Et la réponse officielle ? « Changement climatique. » J’ai ricané devant l’absurde : « – Mais cette mortalité en hausse ? – Changement Climatique. – L’explosion des cancers, des AVC, et de toutes les maladies chez les gens ? – Changement Climatique. » Un mensonge si gros qu’il en devientmissing dans la transcription, je lâche une hypothèse qui cogne : la crise COVID comme un acte terroriste mondial. Oui, c’est provocateur, et je l’assume. Trop de zones d’ombre, trop de coïncidences – un puzzle dont les pièces ne collent pas par hasard. Oublier, c’est capituler. Comme je l’ai dit : « Si l’hypothèse de l’attentat terroriste est la bonne, alors en oubliant, vous remettez le pouvoir à des terroristes. Ça, c’est la logique. » Ce n’est pas une théorie du complot, c’est une question. Et les questions, ça dérange.
Connexions narratives
Ce vlog n°7 est une borne dans la série. Il cristallise la défiance et la rage des premiers épisodes – cette obsession pour la vérité, ce refus de fermer les yeux. Mais il annonce aussi ce qui vient après. À l’époque, j’étais encore empêtré dans la critique brute, sociale, viscérale. Plus tard, dans le vlog n°11, je commencerai à chercher autre chose – la lumière de Noël, un souffle d’espoir au milieu du chaos. Et en 2025, avec des épisodes comme le n°52 sur la gnose, je m’aventurerai dans une quête plus intérieure, puisant dans les vieilles sagesses pour éclairer notre désastre moderne. Le n°7, c’est le rugissement primal avant que je ne commence à poser les armes pour explorer d’autres chemins.
Conclusion
En 2025, je revois ce vlog avec un mélange de tendresse et de recul. Cette colère était juste, nécessaire même, mais elle ne suffit pas. J’ai appris à lâcher prise, à « cueillir des pâquerettes » comme je le dirai plus tard, plutôt que de me laisser ronger par l’actualité. Reste une question, simple et lourde : face à un monde qui vous ment, jusqu’où irez-vous pour trouver la vérité ? Et quand vous l’aurez sous les yeux, qu’en ferez-vous ?