Dans cet épisode des Verticales de l’été, je retrouve Manuel pour une conversation libre et sans filtre. Nous revenons sur la pandémie de COVID, la gestion politique et sanitaire, les effets secondaires supposés des vaccins, et les implications géopolitiques. Un dialogue dense, parfois dérangeant, qui interroge notre rapport à la vérité et au pouvoir.
Résumé des épisodes précédents
Depuis le lancement des Verticales de l’été, nous avons traversé ensemble un large spectre de rencontres et de réflexions : artistes, militants, habitants de l’Aveyron, explorations historiques, enquêtes patrimoniales et escapades géopolitiques. Des rives de la rivière à la pierre des vieux villages, des témoignages intimes aux grands débats de société, chaque épisode tisse le fil d’une aventure où le local rencontre l’universel.
L’entretien avec Manuel : une parole à bâtons rompus
L’un et l’autre, nous ne nous prétendons spécialistes en rien. Mais l’envie est là : partager, confronter, comprendre. Aujourd’hui, le sujet s’impose presque de lui-même : revenir sur la crise du COVID, non pas avec des chiffres officiels ou des éléments de langage, mais avec la mémoire de ce que nous avons vécu.
Dès le début, Manuel revient sur ce moment glaçant où le président prononce : « Nous sommes en guerre ». Une guerre contre un virus, certes, mais avec dans l’air la sensation que le citoyen devient aussi la cible de mesures inédites. Confinements, QR codes, narrations médiatiques martelées… Et, surtout, la question du vaccin.
Effets secondaires, silence et fractures
Manuel évoque, avec émotion et colère, les effets secondaires qu’il attribue à la vaccination : myocardites, décès subits de sportifs, « turbo-cancers ». Des drames qu’il dit constater autour de lui, et qui seraient passés sous silence dans les médias français alors que, selon lui, ailleurs – notamment aux États-Unis – des procédures judiciaires sont en cours.
Une dimension géopolitique et économique
La discussion dérive vers la géopolitique : la place de figures comme Anthony Fauci ou Bill Gates, la question du contrôle de la population, les stratégies des élites. Pour Manuel, les mesures sanitaires s’inscrivent dans un projet plus vaste : remodeler les sociétés, réduire les libertés individuelles, et concentrer richesses et pouvoir.
Il évoque aussi l’ombre du Forum économique mondial et ses scénarios où « nous ne posséderons rien et serons heureux ». Des mots qui, pour lui, prennent un sens inquiétant quand on les relie aux confinements, aux QR codes et aux transformations économiques en cours.
Et après ?
Nous terminons l’entretien sur une note en suspens : l’avenir. Manuel suit de près la situation aux États-Unis, où il voit poindre une possible « reprise en main » de la santé publique, portée par certains acteurs politiques. Mais il reste lucide : le chemin sera long, et la fracture ouverte par la crise sanitaire n’est pas près de se refermer.