
Empire Loubavitch : l’analyse explosive de Pierre Hillard sur une dynastie messianique mondiale
Ce n’est pas une thèse, c’est un décryptage. Un schéma de pouvoir mondial dessiné pièce par pièce, texte à l’appui, dans un entretien magistral. Face à Claude Janvier et Éric Montana sur JSF, Pierre Hillard déroule ce qu’il appelle l’« empire Loubavitch » : une construction politico-religieuse à vocation planétaire, fondée sur une attente messianique ultra-structurée, des réseaux d’influence bien réels, et un projet de domination idéologico-juridique fondé sur les lois noahides.
Un entretien dense, dérangeant, documenté. À voir, à lire, à confronter.
Une dynastie religieuse organisée comme un empire
Le mouvement Habad-Loubavitch ne se résume pas à quelques rabbins souriants dans les aéroports ou à des clips festifs sur TikTok. C’est, selon Hillard, une structure impériale à part entière, fondée sur une hiérarchie rabbinique, un culte du chef – le Rabbi Schneerson – et une mission claire : préparer la venue du Messie et l’instauration d’un royaume mondial juif, administré selon les principes de la Halakha et du Talmud.
« L’État d’Israël, dans cette logique, n’est pas la fin mais le moyen », explique Hillard. L’objectif est plus vaste : une centralisation théocratique à Jérusalem, avec des ramifications dans tous les grands centres de décision du monde.
« Le Rabbi n’est pas mort, il doit revenir pour instaurer la royauté universelle. Ce n’est pas une croyance marginale. C’est le cœur du projet. » — Pierre Hillard
Réseaux, pouvoirs, influence : une toile mondiale
Hillard ne parle pas dans le vide. Il aligne les exemples : conseillers influents à la Maison-Blanche, oligarques milliardaires soutenant Israël, collaboration étroite avec le Mossad, implantations éducatives et médiatiques dans des dizaines de pays.
Le mouvement Loubavitch n’est pas seulement religieux : c’est un bras politique, financier et diplomatique du sionisme religieux mondial, dont l’originalité est de parler aux non-juifs pour mieux leur imposer, à terme, les « lois noahides » – un corpus juridique censé s’appliquer à toute l’humanité.
Ces lois, validées symboliquement par le Congrès américain en 1991 (résolution publique 102-14), servent de base théologico-juridique à l’universalisation d’un pouvoir rabbinique. Ce n’est pas un fantasme : c’est une stratégie inscrite dans les textes, analysée par Hillard avec une rigueur froide.
Technologie, surveillance, IA : le Golem du XXIe siècle
Ce que Hillard nomme le « Golem numérique » n’est pas une image poétique. C’est un système de contrôle algorithmique planétaire, adossé aux grandes firmes technologiques — souvent dirigées ou influencées par des réseaux loubavitchs ou sionistes ultra-religieux — et destiné à paver la voie à un pouvoir messianique technocratique.
« Le Golem, c’est l’intelligence artificielle mise au service d’un pouvoir sans visage, mais pas sans projet. » — Pierre Hillard
La fusion entre religion, surveillance et biotechnologie – qu’il évoque sans détour – serait l’arme principale de l’empire à venir. Contrôle biométrique, identité numérique, lois religieuses déguisées en normes universelles.
Un messianisme militaire, financier, stratégique
La collusion entre finance apatridée, institutions internationales et mouvement religieux est au cœur de cette enquête. Pierre Hillard insiste : les Loubavitchs sont peu nombreux, mais leur influence est tentaculaire. Parce qu’ils occupent des postes-clés. Parce qu’ils agissent en réseau. Parce que leur stratégie est millénaire. Et assumée.
Ce n’est pas une synagogue isolée : c’est un projet d’hégémonie spirituelle et politique, sous couvert de religion.
Conclusion : une guerre eschatologique en cours
L’entretien avec Hillard n’est pas une simple interview. C’est un acte de dévoilement. Il expose les racines d’une guerre qui ne dit pas son nom : guerre des âmes, guerre des lois, guerre des esprits.
Peut-on encore séparer politique, religion, technologie ? Peut-on ignorer les structures invisibles qui œuvrent dans les coulisses du pouvoir mondial ? Hillard nous oblige à regarder autrement. À comprendre que l’avenir du monde pourrait bien se jouer sur un plan spirituel — mais pas celui qu’on croit.
« C’est une guerre messianique. Elle a commencé. Et nous faisons partie du champ de bataille, que nous le voulions ou non. » — Pierre Hillard
Vidéo complète sur JSF, animée par Claude Janvier et Éric Montana : à voir en intégralité ci-dessus.