Dans l’épisode 62, j’ai répondu frontalement aux étiquettes qu’on m’a collées depuis 2020. Aujourd’hui, je prends un peu de recul pour dresser un état des lieux — sans filtre — de la situation mondiale et de la place de la France dans ce chaos.
Le déni national
Nous vivons l’une des pires périodes de l’histoire de France. Les révélations qui nous viennent des États-Unis sont si terribles que beaucoup préfèrent se dire : « J’ai raison, et c’est le monde entier qui a tort. »
C’est un choix confortable, mais qui nous mène droit dans le mur. Un mur économique, social et politique d’une rigidité écrasante.
Pandémie : la grande escroquerie
La COVID n’a pas été qu’une crise sanitaire, mais une escroquerie à 8 millions de morts. Et pas morts d’un virus, mais d’une absence volontaire de soins, le traitement efficace ayant été interdit.
À cela s’ajoutent les conséquences encore inconnues d’une expérience génique imposée à une grande partie de la population. Les scientifiques intègres parlent déjà du plus grand scandale sanitaire de notre histoire.
De la pandémie à la guerre
La guerre est la petite sœur de la pandémie. Après le COVID, nous nous sommes lancés dans une guerre par procuration avec la Russie, sur le sol ukrainien — l’un des pays les plus corrompus au monde. L’Ukraine a servi de machine à laver l’argent sale généré par la pandémie. Un million de morts de plus, dans l’indifférence générale.
Silence sur un génocide
Comme si cela ne suffisait pas, nous fermons les yeux sur le massacre du peuple palestinien par le gouvernement israélien.
Une France discréditée
Sur le plan international, mon pays est discrédité. Sur le plan intérieur, je nous compare à Wile E. Coyote : depuis 2020, nous courons dans le vide après avoir dépassé la falaise. La chute approche, et elle sera proportionnelle à notre déni.
Trump, l’IA et le nouvel ordre
Aux États-Unis, l’élection de Donald Trump marque un renversement de table. Il a compris qu’avec l’arrivée de l’intelligence artificielle, un nouvel ordre mondial s’installe :
- Fin progressive de la sécurité sociale et des retraites
- Disparition de la solidarité d’État
- Retour des “lois naturelles”
L’agonie de la gauche
En France, la gauche unie aurait pu peser. Désunie, elle se réduit à des micropartis courant après le remboursement de campagne. LFI pourrait même être classé “factieux” et réduit à se réunir clandestinement.
Notre paysage politique va ressembler à celui des États-Unis : une droite et une extrême droite fortes, une gauche fantôme.
Un futur “hard”
Le nouveau monde ne fera pas de cadeaux aux improductifs : personnes âgées, handicapés, chômeurs… La sortie volontaire sera facilitée. Et si l’Europe décide de déclencher une guerre mondiale avec la Russie, alors Emmanuel Macron pourrait bien marquer la fin de la France en même temps que la fin de son mandat.
« Restez dans le déni. C’est peut-être la dernière chose qui nous maintient en l’air. »