
Guerre civile en Occident : mythe ou réalité déjà en marche ?
Un assassinat politique. Une marche record. Des médias qui inversent la réalité. Une société qui se délite, jusqu’à justifier l’injustifiable. La guerre civile est-elle encore à venir, ou bien déjà là ?
Dans cette vidéo puissante et bouleversante, Tatiana Ventôse revient sur une semaine où l’Histoire a semblé accélérer. Le meurtre du podcasteur américain Charlie Kirk, les manifestations massives au Royaume-Uni, l’explosion des tensions communautaires et le retournement du langage médiatique… tout indique que le ver est dans le fruit. Mais jusqu’à quel point ?
Résumé de la vidéo
Défiance envers les élites, insécurité culturelle croissante, criminalité impunie, fracture médiatique totale : Tatiana Ventôse s’appuie sur les travaux de l’universitaire David Betz pour dresser le tableau d’un Occident au bord de l’implosion. Elle illustre ce diagnostic avec des faits concrets : des quartiers livrés aux gangs de mineurs en Angleterre, des émeutes en Irlande du Nord, des gamines qui se défendent au couteau…
Mais c’est aussi une mise en cause frontale : “Quand on voit que les médias traitent de ‘fasciste’ une manifestation pacifique de 150 000 Britanniques, et qu’en même temps ils occultent le meurtre d’Irina Zarutska, poignardée dans le métro par un récidiviste relâché 14 fois… alors oui, on a franchi un cap.”
Quand le réel devient d’extrême droite
L’angle narratif de la vidéo est clair : la réalité dérange, donc elle est qualifiée d’extrême droite. “Il n’y a plus de débat possible. Il n’y a plus de cohabitation possible. C’est ça, le terreau de la guerre civile.” Ventô déroule une démonstration implacable : les autorités ferment les yeux sur certaines violences pour préserver un récit officiel, tandis que les citoyens ordinaires sont dénigrés, insultés, voire criminalisés s’ils osent s’exprimer.
“La guerre civile n’est pas à venir. Elle est là, à bas bruit. C’est une guerre d’usure entre une caste mondialisée et des peuples qu’on force à se taire.”
Tatiana Ventôse
Charlie Kirk : le symbole qui dérange
L’assassinat du podcasteur conservateur Charlie Kirk n’a pas suscité l’indignation universelle. Bien au contraire. Il a été moqué, justifié, récupéré. Tatiana s’insurge : “Quand vous considérez quelqu’un comme un nazi, vous pouvez lui faire n’importe quoi. C’est la porte ouverte à la déshumanisation.”
Et si les médias ont d’abord prétendu que le tueur était d’extrême droite, la réalité s’est révélée tout autre : antifa, trans militant, extrême gauche radicalisée. La mécanique est claire : tordre le réel pour faire tenir le récit.
France, Royaume-Uni, États-Unis : même fracture, même mépris
De Maya SomersGrooming Gangs ou les attaques d’églises transformées en mosquées : c’est toute une guerre culturelle qui se joue dans le silence gêné des élites. Une guerre que les citoyens voient, ressentent, vivent, mais dont ils n’ont plus le droit de parler.
“C’est devenu trop compliqué de dire qu’on aime le bacon. En Angleterre. En 2025.”
Tatiana Ventôse
La gauche : caution involontaire de la caste
Ventôse, ancienne militante de gauche, accuse frontalement : “Aujourd’hui, les gauchistes sont les idiots utiles du pouvoir.” En refusant tout débat, en criminalisant les opinions divergentes, ils valident et légitiment le système qu’ils prétendent combattre. “Ce n’est pas le gauchisme qui gouverne. C’est une classe dirigeante mondialisée qui leur laisse le carré de la cour de récré.”
La guerre est déjà là : ce n’est pas celle qu’on croit
La guerre civile évoquée ici n’est pas une guerre ethnique, religieuse ou même politique au sens classique. C’est une guerre de la caste mondialisée contre les nations. Une guerre de la finance contre les peuples. Une guerre menée par une minorité qui, pour se maintenir, doit désarmer moralement et culturellement les majorités. Par l’humiliation. Par la peur. Par la censure.
“Ce qui nous permettra de sortir par le haut, c’est encore la politique, c’est le débat contradictoire, pas la guerre.”
Tatiana Ventôse
Conclusion : voir clair pour agir
Ce n’est pas la guerre civile qui menace. C’est l’impossibilité même du débat. Le réel est nié, les faits sont retournés, les mots sont interdits. Face à cela, il ne reste qu’un choix : voir, nommer, résister. Non pas par la violence. Mais par l’intelligence collective, le courage de dire, et la volonté de reconstruire une société pour et par les gens ordinaires.
“La guerre n’est que la continuation de la politique par d’autres moyens” écrivait Clausewitz. À nous de choisir à nouveau la politique.
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