Dans ce vlog n°15, enregistré le 20 janvier 2024, je prends un ton plus corrosif, plus direct.
J’évoque ce que j’appelle la musique de guerre : un fond sonore, politique et médiatique, qui enfle chaque jour un peu plus et nous pousse vers l’embrasement.
J’utilise ici le sarcasme pour dire ce qui ne passe plus autrement — en transposant notre époque dans le registre de la fiction sérielle, comme si tout cela n’était qu’une vaste production Netflix.
Résumé des épisodes précédents
Depuis les vlogs 10 à 14, je chemine entre lucidité, désillusion et recherche de sens.
On y parlait d’IA, de matérialisme, de croyances… L’épisode 15 marque un retour plus frontal à la critique politique, mais en utilisant un nouvel outil : la fable satirique.
Le ton change, mais le but reste le même : révéler la mécanique des récits qu’on nous sert.
Analyse de l’épisode n°15
Tout commence par une dénonciation de la rhétorique guerrière :
« Il faut se réarmer », dit le Président. Même l’amour devient une obligation d’État. »
Puis, je propose une relecture de notre époque comme une série télévisée :
- Saison 1 : Pandémie mortelle
- Saison 2 : Le vaccin et la fracture sociale
- Saison 3 : Ukraine, les gentils contre les méchants
- Saison 4 : Le chaos total, la guerre sans fin
Une série de plus en plus grotesque, qui aurait dû s’arrêter à la saison 2, mais que les producteurs veulent étirer comme un chewing-gum.
Tout repose sur la peur. Retirez la peur, et il ne reste qu’un braquage mondial et une humanité sacrifiée pour des idéologies périmées.
Mon pronostic ?
Mars 2024. Pourquoi ?
Parce que Mars est le dieu de la guerre. Et que le baril est prêt.
Connexions narratives
Cet épisode fait écho à mes critiques précédentes sur la manipulation, la propagande, le détournement de sens.
Mais ici, j’en change la forme : je passe à la satire.
Plutôt que de hurler, je caricature.
Plutôt que d’alerter, je décris le délire avec humour noir. Parce qu’il devient plus supportable de rire de l’effondrement que d’en pleurer.
Conclusion
L’histoire qu’on nous raconte n’est pas la nôtre.
C’est une fiction imposée, montée pour nous faire peur, pour nous diviser.
Il est temps de sortir du script.
De couper le son de cette musique de guerre.
Et de retrouver, ensemble, notre propre narration.
Merci pour votre écoute. À la semaine prochaine.