Dans ce vlog n°16, enregistré le 27 janvier 2024, je m’attaque à l’un des plus grands non-dits de notre époque : l’éléphant dans la pièce.
Une métaphore universelle pour désigner ces sujets trop lourds pour être ignorés… mais trop inconfortables pour être nommés.
À travers cette image, j’aborde notre déni collectif, l’impact réel de l’intelligence artificielle, et ce que nous n’avons toujours pas digéré depuis 2020.
Résumé des épisodes précédents
Depuis les épisodes 10 à 15, mes réflexions oscillent entre critique politique, recherche de sens et lucidité spirituelle.
J’ai parlé de guerre, de manipulation narrative, d’IA, de matérialisme, et de mémoire.
Mais ce vlog 16 constitue une crête émotionnelle et morale : il reconnecte les fils rompus du récit collectif.
C’est un retour aux sources du traumatisme contemporain.
Analyse de l’épisode n°16
J’ouvre l’épisode en décortiquant la formule « éléphant dans la pièce ».
Un tabou si massif qu’il devient évident, mais si menaçant qu’on préfère l’ignorer.
Et depuis 2020, ce tabou n’a cessé de croître.
Il porte les noms suivants :
– les morts seuls dans les EHPAD,
– les traitements interdits,
– la ségrégation vaccinale,
– les guerres absurdes,
– Gaza,
– l’inversion morale des récits.
Je mêle ensuite ce silence collectif à une autre menace bien réelle :
l’explosion de l’intelligence artificielle dans nos sociétés.
60 % des emplois menacés dans les pays développés.
Une consommation énergétique doublée dès 2026.
Un monde piloté par des algorithmes et des élites aveugles.
Et comme souvent dans l’histoire, quand les élites perdent le contrôle des conséquences sociales…
elles font la guerre.
Connexions narratives
Cet épisode condense et articule plusieurs fils de la série :
- La dissimulation du réel (vlogs 1 à 3),
- La critique du storytelling politique (vlogs 10 et 15),
- La perte de sens face à la technologie (vlogs 13-14),
- Et le besoin d’une mémoire partagée.
Ici, tout converge. Le politique, l’économique, le spirituel.
Ce n’est plus un commentaire. C’est une tentative de désenvoûtement collectif.
Conclusion
Je m’adresse à tous ceux qui ressentent encore, malgré la chape de plomb :
Oui, il y a un éléphant dans la pièce.
Et il faudra bien finir par le regarder en face.
Le vivre-ensemble de façade ne tiendra pas sans cette reconnaissance.
Quant à ceux qui attendent justice ou réparation — soignants, oubliés, agriculteurs, sacrifiés — je leur dis :
n’attendez rien d’un État ruiné. La vérité ne viendra pas d’en haut.
Merci pour votre écoute.