Réactivation du Virus Epstein-Barr après les Vaccins ARNm : Une Menace Ignorée par les Autorités ?

Les vaccins COVID à ARNm, largement déployés pour lutter contre la pandémie, pourraient-ils avoir des effets secondaires inquiétants, notamment la réactivation du virus Epstein-Barr (VEB) ? Une étude préliminaire de Yale soulève des questions troublantes sur leurs impacts à long terme. Cet article plonge dans les résultats de cette recherche, explore les risques potentiels et dénonce l’opacité autour de ces vaccins expérimentaux.

Qu’est-ce que le Virus Epstein-Barr ?

Le virus Epstein-Barr (VEB), un membre de la famille des herpesvirus, infecte plus de 90 % de la population mondiale. Connu pour causer la mononucléose infectieuse, il peut rester dormant dans l’organisme avant de se réactiver sous l’effet de facteurs comme le stress ou un affaiblissement immunitaire. Mais que se passe-t-il lorsque ce déclencheur est un vaccin à ARNm ? Les implications pourraient être bien plus graves qu’on ne le pense.

L’Étude de Yale : Une Révélation Déconcertante

Une étude menée par des chercheurs de Yale, publiée sur medRxiv, a analysé 42 personnes souffrant du syndrome post-vaccinal (SPV) après avoir reçu des vaccins ARNm, comparées à 22 témoins sains. Les conclusions sont alarmantes :

  • Réactivation massive du VEB : Les patients SPV présentaient des signes clairs de réactivation du virus, contrairement aux contrôles.
  • Déséquilibre immunitaire : Une chute des lymphocytes T CD4 et une hausse des lymphocytes T CD8 TNFα+ ont été observées, suggérant une réponse immunitaire anormale.
  • Protéine spike persistante : Chez certains participants, la protéine spike du vaccin était détectable jusqu’à 709 jours après l’injection, un signe que ces vaccins pourraient perturber le corps bien plus longtemps qu’annoncé.

« Ce travail est encore à ses débuts, et nous devons valider ces résultats », admet le Dr. Akiko Iwasaki, co-auteur de l’étude. Mais ce caveat ne dissipe pas les inquiétudes : pourquoi ces signaux n’ont-ils pas été investigués plus tôt ?

Méthodologie et Limites : Un Silence Gênant

Bien que l’étude soit préliminaire et basée sur un échantillon réduit (64 participants), elle pointe du doigt une corrélation troublante entre les vaccins ARNm et la réactivation du VEB. Les autorités sanitaires minimisent ces résultats, arguant qu’ils ne prouvent pas une causalité. Pourtant, l’absence d’études à grande échelle sur ce phénomène interroge : les fabricants de vaccins et les régulateurs préfèrent-ils fermer les yeux ?

Les Vaccins ARNm : Une Expérimentation à Risques ?

L’idée que les vaccins ARNm, vantés comme une révolution médicale, puissent réactiver des virus latents comme le VEB est terrifiante. Cette technologie, déployée à une échelle sans précédent, semble laisser des traces durables dans l’organisme, comme en témoigne la persistance de la protéine spike. Ajoutons à cela les témoignages croissants de syndromes post-vaccinaux, et le tableau devient sombre. Pourquoi les effets secondaires potentiels n’ont-ils pas été davantage étudiés avant une vaccination de masse ?

Une Santé Publique en Danger

Si la réactivation du VEB s’avère liée aux vaccins ARNm, les conséquences pourraient être désastreuses :

  • Fatigue chronique, troubles neurologiques et maladies auto-immunes pourraient toucher des millions de vaccinés.
  • Les systèmes de santé, déjà fragilisés, seraient incapables de répondre à une vague de pathologies induites.
  • La confiance dans les institutions, qui ont poussé ces vaccins sans transparence, s’effondrerait encore davantage.

Synthèse : Un Signal d’Alarme à Prendre au Sérieux

En résumé, l’étude de Yale met en lumière un lien possible entre les vaccins COVID à ARNm et la réactivation du virus Epstein-Barr, avec des indices troublants comme la persistance de la protéine spike et des déséquilibres immunitaires. Bien que préliminaires, ces résultats exigent des investigations urgentes, loin des discours rassurants mais vides des autorités. Les citoyens méritent des réponses claires : ces vaccins sont-ils vraiment aussi sûrs qu’on nous l’a promis ?

Pour aller plus loin, consultez l’étude complète sur medRxiv ou l’article de Yale News.