La physique quantique fascine autant qu’elle intrigue. Mais que se passe-t-il lorsqu’elle croise des notions comme la conscience, le futur ou même l’âme ? Philippe Guillemant, ingénieur physicien et chercheur au CNRS, nous invite à repenser notre réalité à travers une vision audacieuse. Dans une interview accordée au média 4-4-2, il explore comment le temps pourrait ne pas exister, pourquoi la conscience ne serait pas produite par le cerveau, et comment notre futur pourrait être influencé par une connexion profonde à notre âme.
Quand la science rencontre la spiritualité
Imaginez un monde où le futur est déjà écrit, mais modifiable à tout instant. Un monde où la conscience ne dépend pas de votre cerveau, mais flotte dans un océan quantique. Philippe Guillemant, spécialiste de l’intelligence artificielle et auteur du livre Le Grand Virage de l’Humanité, propose cette vision révolutionnaire. Ses idées, ancrées dans la physique quantique, bousculent nos certitudes et ouvrent des perspectives sur le sens de la vie, le libre arbitre et notre destin collectif. Plongeons dans ces concepts fascinants !
Comprendre la physique quantique : au-delà du temps et de l’espace
Le temps n’existe pas : une réalité scientifique ?
Pour Guillemant, le temps tel qu’on le perçoit est une illusion. Il s’appuie sur la théorie de l’univers bloc d’Einstein, où passé, présent et futur coexistent. « Le temps n’existe pas d’un point de vue scientifique, ça veut dire que le futur est déjà réalisé », explique-t-il dans l’interview. Mais alors, pourquoi voyons-nous nos corps vieillir ? Selon lui, ce que nous ressentons comme le passage du temps ressemble davantage à une navigation dans un multivers de possibilités, guidée par des forces au-delà de la mécanique classique.
Un multivers de possibilités
La physique quantique introduit l’idée d’un multivers, où plusieurs futurs coexistent. Guillemant compare cela à un GPS : « Notre futur est déjà tracé, mais lorsqu’il change, c’est soit parce que notre destination change, soit parce qu’on ne suit pas le parcours prévu. » Ce tunnel invisible, flottant sur un « océan de conscience », permettrait à notre réalité de s’adapter à nos choix et vibrations intérieures.
La conscience dissociée du cerveau : une révolution paradigmatique
La conscience n’est pas dans notre tête
Et si la conscience n’était pas un produit du cerveau ? Guillemant rejette cette idée comme une « pensée magique » non démontrée. « Aucun cerveau n’est capable de reproduire l’information de la conscience », affirme-t-il, s’appuyant sur son expérience en intelligence artificielle. Pour lui, la conscience serait une entité indépendante, liée à l’espace lui-même, reconstruisant notre perception de la réalité comme un hologramme.
Preuves et phénomènes extraordinaires
Des expériences comme la vision à distance, la télépathie ou les synchronicités viennent étayer cette théorie. « Les probabilités pour que ces phénomènes soient dus au hasard sont incompatibles avec le fait qu’ils n’existent pas », note-t-il. Les témoignages d’expériences de mort imminente (EMI) renforcent cette idée : des personnes décrivent des perceptions impossibles si la conscience était limitée au cerveau.
Le futur de l’humanité : entre « fouture » et « futé lumineux »
Deux voies possibles
Guillemant distingue deux futurs potentiels. Le « fouture », un terme qu’il emprunte avec humour à une erreur de transcription, symbolise un avenir transhumaniste, marqué par le contrôle numérique et la déshumanisation. À l’opposé, le « futé lumineux » incarne un futur humain, basé sur l’autonomie, la résilience et la solidarité. « Ce futur-là est inexorable », assure-t-il, porté par un éveil collectif amorcé par la crise du Covid.
La crise du Covid : un tournant décisif
Pour Guillemant, cette crise a agi comme un révélateur. « Le Covid n’a pas été une fenêtre d’opportunité pour le transhumanisme, mais un avertissement », dit-il. Il évoque des synchronicités collectives – comme l’effondrement financier de 2019 ou l’Event 201 – qui ont conduit à un basculement des croyances, ouvrant la voie à un futur plus lumineux.
L’âme et les vibrations : guides de notre destin
Se connecter à son âme
Guillemant voit l’âme comme une entité qui choisit notre chemin, distincte de l’esprit qui fixe notre destination. « Se connecter à son âme, c’est se déconditionner du mental, de l’émotionnel et de l’ego », explique-t-il. Ce processus, bien que difficile, mène à une joie profonde, signe d’une reconnexion réussie.
Les vibrations, clé de la réalité
Les vibrations, souvent galvaudées dans le développement personnel, trouvent ici une définition scientifique. « Ce sont des vibrations du vide, de la conscience elle-même », précise Guillemant. Ce que nous vibrons intérieurement attire des situations en résonance, influençant notre futur. « Tout ce que tu vibres inconsciemment de maladie, tu es resservi par l’espace-temps », illustre-t-il dans son livre.
Synthèse des thématiques abordées
Cet article explore les idées de Philippe Guillemant sur la physique quantique, la conscience et le futur. Il remet en question l’existence du temps, propose que la conscience soit indépendante du cerveau, et distingue deux futurs possibles : un transhumaniste sombre et un humain lumineux. La crise du Covid est vue comme un catalyseur de cet éveil, tandis que l’âme et les vibrations sont présentées comme des guides essentiels pour façonner notre destin.
Conclusion : Vers un avenir éclairé ?
Les théories de Guillemant invitent à une réflexion profonde : et si notre réalité dépendait moins de lois physiques rigides que de notre capacité à écouter notre âme ? En combinant science et spiritualité, il nous pousse à envisager un futur où l’humanité retrouve son essence. Êtes-vous prêt à explorer cette connexion et à vibrer pour un « futé lumineux » ? Laissez vos pensées dans les commentaires !